La chair du bélier n'a pas grande valeur en cuisine et est considérée, pour l'alimentation, comme la plus mauvaise après celle du bouc ; elle est de difficile digestion, ne nourrit pas et a une odeur fétide très désagréable.
Il est donc préférable de le manger jeune, c'est-à-dire quand il n'est encore qu'agneau, ou bien de le faire châtrer, afin de l'avoir mouton ; du moins pour l'alimentation.