La Dame de Monsoreau Vous êtes ici : Accueil > Accueil > Bibliothèque
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Présentation

Deuxième volet de la trilogie des Valois, ce roman se passe sous le règne d'Henri III, en 1578 et 1579. La grande histoire d'amour entre Bussy et la dame de Monsoreau se déroule sur fond de complots menés contre le roi par le duc d'Anjou et la maison de Guise. Chicot, le fou du roi, est un personnage mémorable de ce livre écrit par Dumas en 1846 en collaboration avec Auguste Maquet.

Voir une fiche sur ce livre dans le Dictionnaire des Oeuvres.

Numérisation du texte: Acamédia

Accès direct aux chapitres

- Chapitre I - Les noces de Saint-Luc
- Chapitre II - Comment ce n'est pas toujours celui qui ouvre la porte qui entre dans la maison
- Chapitre III - Comment il est difficile parfois de distinguer le rêve de la réalité
- Chapitre IV - Comment Mademoiselle de Brissac, autrement dit Madame de Saint-Luc, avait passé sa nuit de noces
- Chapitre V - Comment mademoiselle de Brissac, autrement dit Madame de Saint-Luc, s'arrangea pour passer la seconde nuit de ses noces autrement qu'elle n'avait passé la première
- Chapitre VI - Comment se faisait le petit coucher du roi Henri III
- Chapitre VII - Comment, sans que personne sût la cause de cette conversion, le roi Henri se trouva converti du jour au lendemain
- Chapitre VIII - Comment le roi eut peur d'avoir eu peur, et comment Chicot eut peur d'avoir peur
- Chapitre IX - Comment la voix du Seigneur se trompa et parla à Chicot, croyant parler au roi
- Chapitre X - Comment Bussy se mit à la recherche de son rêve, de plus en plus convaincu que c'était une réalité
- Chapitre XI - Quel homme c'était que M. le grand veneur Bryan de Monsoreau
- Chapitre XII - Comment Bussy retrouva à la fois le portrait et l'original
- Chapitre XIII - Ce que c'était que Diane de Méridor
- Chapitre XIV - Ce que c'était que Diane de Méridor. Le traité.
- Chapitre XV - Ce que c'était que Diane de Méridor. Le consentement
- Chapitre XVI - Ce que c'était que Diane de Méridor. Le mariage.
- Chapitre XVII - Comment voyageait le roi Henri III, et quel temps il lui fallait pour aller de Paris à Fontainebleau.
- Chapitre XVIII - Où le lecteur aura le plaisir de faire connaissance avec Frère Gorenflot, dont il a déjà été parlé deux fois dans le cours de cette histoire.
- Chapitre XIX - Comment Chicot s'aperçut qu'il était plus facile d'entrer dans l'abbaye Sainte-Geneviève que d'en sortir
- Chapitre XX - Comment Chicot, forcé de rester dans l'église de l'abbaye, vit et entendit des choses qu'il était fort dangereux de voir d'entendre
- Chapitre XXI - Comment Chicot, croyant faire un cours d'histoire, fit un cours de généalogie
- Chapitre XXII - Comment monsieur et madame de Saint-Luc voyageaient côte à côte et furent rejoints par un compagnon de voyage
- Chapitre XXIII - Le vieillard orphelin
- Chapitre XXIV - Comment Remy Le Haudouin s'était, en l'absence de Bussy, ménagé des intelligences dans la maison de la rue Saint Antoine
- Chapitre XXV - Le père et la fille
- Chapitre XXVI - Comment frère Gorenflot se réveilla, et de l'accueil qui lui fut fait à son couvent
- Chapitre XXVII - Comment frère Gorenflot demeura convaincu qu'il était somnambule, et déplora amèrement cette infirmité
- Chapitre XXVIII - Comment frère Gorenflot voyagea sur un âne nommé Panurge, et apprit dans son voyage beaucoup de choses qu'il ne savait pas
- Chapitre XXIX - Comment frère Gorenflot troqua son âne contre une mule, et sa mule contre un cheval
- Chapitre XXX - Comment Chicot et son compagnon s'installèrent à l'hôtellerie du Cygne de la Croix, et comment ils y furent reçus par l'hôte
- Chapitre XXXI - Comment le moine confessa l'avocat, et comment l'avocat confessa le moine
- Chapitre XXXII - Comment Chicot, après avoir fait un trou avec une vrille, en fit un avec son épée
- Chapitre XXXIII - Comment le duc d'Anjou apprit que Diane de Méridor n'était point morte
- Chapitre XXXIV - Comment Chicot revint au Louvre et fut reçu par le roi Henri III
- Chapitre XXXV - Ce qui s'était passé entre Monseigneur le duc d'Anjou et le grand veneur
- Chapitre XXXVI - Comment se tint le conseil du roi
- Chapitre XXXVII - Ce que venait faire M. de Guise au Louvre
- Chapitre XXXVIII - Castor et Pollux
- Chapitre XXXIX - Comment il est prouvé qu'écouter est le meilleur moyen pour entendre
- Chapitre XL - La soirée de la Ligue
- Chapitre XLI - La rue de la Ferronnerie
- Chapitre XLII - Le prince et l'ami
- Chapitre XLIII - Etymologie de la rue de la Jussienne
- Chapitre XLIV - Comment d'Epernon eut son pourpoint déchiré, et comment Schomberg fut teint en bleu
- Chapitre XLV - Chicot est de plus en plus roi de France
- Chapitre XLVI - Comment Chicot fit une visite à Bussy, et de ce qui s'ensuivit
- Chapitre XLVII - Les échecs de Chicot, le bilboquet de Quélus et la sarbacane de Schomberg
- Chapitre XLVIII - Comment le roi nomma un chef à la Ligue, et comment ce ne fut ni Son Altesse le duc d'Anjou ni Monseigneur le duc de Guise
- Chapitre XLIX - Comment le roi nomma un chef qui n'était ni Son Altesse le duc d'Anjou ni Monseigneur le duc de Guise
- Chapitre L - Etéocle et Polynice
- Chapitre LI - Comment on ne perd pas toujours son temps en fouillant dans les armoires vides
- Chapitre LII - Ventre-saint-gris !
- Chapitre LIII - Les amies
- Chapitre LIV - Les amants
- Chapitre LV - Comment Bussy trouva trois cents pistoles de son cheval et le donna pour rien
- Chapitre LVI - Diplomatie de M. le duc d'Anjou
- Chapitre LVII - Diplomatie de M. de Saint-Luc
- Chapitre LVIII - Diplomatie de M. de Bussy
- Chapitre LIX - Une volée d'Angevins
- Chapitre LX - Roland
- Chapitre LXI - Ce que venait annoncer M. le comte de Monsoreau
- Chapitre LXII - Comment le roi Henri III apprit la fuite de son frère bien-aimé le duc d'Anjou, et ce qui s'ensuivit
- Chapitre LXIII - Comment Chicot et la reine mère se trouvant être du même avis, le roi se rangea à l'avis de la reine mère et de Chicot
- Chapitre LXIV - Où il est prouvé que la reconnaissance était une des vertus de M. de Saint-Luc
- Chapitre LXV - Le projet de M. de Saint-Luc
- Chapitre LXVI - Comment M. de Saint-Luc montra à M. de Monsoreau le coup que le roi lui avait montré
- Chapitre LXVII - Où l'on voit la reine mère entrer peu triomphalement dans la bonne ville d'Angers
- Chapitre LXVIII - Les petites causes et les grands effets
- Chapitre LXIX - Comment M. de Monsoreau ouvrit, ferma et rouvrit les yeux, ce qui était une preuve qu'il n'était pas tout à fait mort
- Chapitre LXX - Comment le duc d'Anjou alla à Méridor pour faire à madame de Monsoreau des compliments sur la mort de son mari, et comment il trouva celui-ci qui venait au-devant de lui
- Chapitre LXXI - Du désagrément des litières trop larges et des portes trop étroites
- Chapitre LXXII - Dans quelles dispositions était le roi Henri III quand M. de Saint-Luc reparut à la cour
- Chapitre LXXIII - Où il est traité de deux personnages importants de cette histoire que le lecteur avait depuis quelque temps perdus de vue
- Chapitre LXXIV - Comment les trois principaux personnages de cette histoire firent le voyage de Méridor à Paris
- Chapitre LXXV - Comment l'ambassadeur de M. le duc d'Anjou arriva à Paris, et la réception qui lui fut faite
- Chapitre LXXVI - Lequel n'est autre chose que la suite du précédent, écourté par l'auteur pour cause de fin d'année
- Chapitre LXXVII - Comment M. de Saint-Luc s'acquitta de la commission qui lui avait été donnée par Bussy
- Chapitre LXXVIII - En quoi M. de Saint-Luc était plus civilisé que M. de Bussy, des leçons qu'il lui donna, et de l'usage qu'en fit l'amant de la belle Diane
- Chapitre LXXIX - Les précautions de M. de Monsoreau
- Chapitre LXXX - Une visite à la maison des Tournelles
- Chapitre LXXXI - Les guetteurs
- Chapitre LXXXII - Comment M. le duc d'Anjou signa, et comment, après avoir signé, il parla
- Chapitre LXXXIII - Une promenade aux Tournelles
- Chapitre LXXXIV - Où Chicot s'endort
- Chapitre LXXXV - Où Chicot s'éveille
- Chapitre LXXXVI - La Fête-Dieu
- Chapitre LXXXVII - Lequel ajoutera encore à la clarté du chapitre précédent
- Chapitre LXXXVIII - La procession
- Chapitre LXXXIX - Chicot Ier
- Chapitre XC - Les intérêts et le capital
- Chapitre XCI - Ce qui se passait du côté de la Bastille, tandis que Chicot payait ses dettes à l'abbaye Sainte-Geneviève
- Chapitre XCII - L'assassinat
- Chapitre XCIII - Comment frère Gorenflot se trouva plus que jamais entre la potence et l'abbaye
- Chapitre XCIV - Où Chicot devine pourquoi d'Epernon avait du sang aux pieds et n'en n'avait pas aux joues
- Chapitre XCV - Le matin du combat
- Chapitre XCVI - Les amis de Bussy
- Chapitre XCVII - Le combat
- Chapitre XCVIII - Conclusion
© Société des Amis d'Alexandre Dumas
1998-2010
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